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161 articles taggés Histoires diverses

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L'Exorciste (1973)


Le comportement dérangeant d'une petite fille incite sa mère à en parler à un prêtre, qui est convaincu que l'enfant est possédée par un démon. L'histoire est semblable à celle de Roland Doe, le pseudonyme donné à une personne qui aurait été possédée en 1949.





Psychose (1960)


Dans ce classique d'Alfred Hitchcock, Norman Bates, un gérant de motel, tue les clients de son établissement. Le scénario du thriller se base sur le roman de Robert Bloch (1959), qui s'inspirait de l'histoire du criminel Ed Gein. L'auteur vivait à une soixantaine de kilomètres de chez Gein, dans le Wisconsin. Le tueur et le protagoniste du film avaient des comportements semblables.





La Corde (1948)


Voici un film d'Alfred Hitchcock adapté d'une pièce de théâtre du même nom, dont l'histoire s'inspire des vies de Nathan Leopold et Richard Loeb. Les deux jeunes hommes, issus de familles aisées, tuent Bobby Franks, un garçon de 14 ans, simplement parce qu'ils veulent commettre le « meurtre parfait ».





Conjuring : Les Dossiers Warren (2013)


Ed et Lorrain Warren, un couple de parapsychologues, enquêtent sur un événement paranormal qui terrifie une famille vivant dans une ferme isolée. Dans la véritable histoire, les Warren étaient bien venus en aide à une famille, les Perror, qui vivaient avec leurs cinq filles dans une ferme de Rhode Island fréquentée par des fantômes. La famille Perror a déménagé en 1971.












Tags : Histoires diverses
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#Posté le lundi 15 mai 2017 14:41

SHINING : Les hôtels les plus effrayants du monde

 SHINING : Les hôtels les plus effrayants du monde
 
Leurs murs ont abrité des tragédies, des meurtres, des suicides... Aujourd'hui souvent considérés comme hantés, ces hôtels peu recommandables cultivent leurs histoires de fantômes et leur réputation inquiétante.


SHINING : Les hôtels les plus effrayants du monde


Le Château des Horreurs de H.H. Holmes, Chicago, États-Unis


Né Herman Webster Mudgett en 1860, Dr. Henry Howard Holmes est considéré comme l'un des premiers tueurs en série américains. Installé comme pharmacien à Chicago, il décide d'ouvrir un hôtel en 1882. Pour ce, il épouse en troisièmes noces une millionnaire, qui lui paye une pharmacie située dans un immeuble dont il fera un château. Faisant appel à plusieurs entreprises de travaux en bâtiments, qu'il ne paye pas et à qui il ne laisse pas le temps de connaître les plans, il envisage un bâtiment labyrinthique truffé de passages secrets, de pièges, de caves et de pièces cachées sans fenêtres, de portes qui s'ouvrent sur des murs de briques... Lorsque l'Exposition Universelle ouvre à Chicago en mai 1893, l'hôtel d'Holmes affiche complet.
 
Le psychopathe s'en donne alors à c½ur joie, asphyxiant à tour de bras ses clients en les enfermant dans des chambres à gaz, les faisant cuire dans des fours, les torturant à l'aide d'acide ou d'une machine qui écrase les os. Une fois ses victimes mortes (ou pas), il dissèque les corps et les vend aux universités de médecine. À la fin de l'Exposition Universelle, le calme revenu en ville l'oblige, après avoir essayé d'escroquer les assurances en mettant feu à un étage, à fuir aux quatre coins des États-Unis.
 
C'est lors d'une arrestation pour fraude en 1894 que la police fouille le fameux château, découvre les crimes commis et, même si l'hôtel brûle (étrangement) l'année suivante, suffisamment de preuves sont réunies pour arrêter, condamner et exécuter H.H. Holmes. Il avait 35 ans.



SHINING : Les hôtels les plus effrayants du monde



Château Marmont, Los Angeles, États-Unis


Le Château Marmont n'est pas seulement un bar d'hôtel incontournable, fréquentés par les stars de Hollywood et où Sofia Coppola a tourné son Somewhere, c'est aussi un endroit pas forcément très recommandable. «Vous pouviez vous défoncer au Chateau Marmont rien qu'en sniffant les vapeurs filtrant des trous de serrure», disait Roman Polanski.
 
Outre les hectolitres d'alcools et les kilos de drogues, l'hôtel a vu John Bonham, l'incontrôlable batteur de Led Zeppelin, y débouler sur sa Harley, ruinant le sol du lobby. Il a aussi vu y mourir John Belushi en mars 1982, d'une injection de speedball (mélange d'héroïne et de cocaïne) de trop. En 2004, une autre personnalité y trouve la mort, lorsqu'en sortant de l'hôtel, la Cadillac conduite par Helmut Newton s'écrase violemment contre le mur de l'allée d'accès du Marmont... Méfiance, donc !


SHINING : Les hôtels les plus effrayants du monde


Crescent Hotel, Arkansas, États-Unis


En 1886, le Crescent Hotel ouvrait ses portes en grande pompe près du village d'Eureka Springs, alors réputé pour ses eaux thermales. Il faut dire qu'il avait de l'allure : jardins luxueux, courts de tennis, de cricket, d'immenses suites, une piscine, desomptueuses cheminées... Mais les eaux thermales ne brillant pas par leur efficacité, l'hôtel fut contraint de cesser son activité en 1924, après avoir essayé d'occuper l'hiver en hébergant des jeunes pensionnaires. Jusqu'à l'arrivée d'un prétendu Docteur Norman Baker, en 1937, qui décida de faire du Crescent un hôpital spécialisé dans le traitement anti-cancer. Evidemment, le charlatan n'était pas médecin et ne soigna jamais personne, escroquant ses patients avant de les laisser mourir.
 
Après l'arrestation de Baker, en 1940, l'hôtel connut quelques années de solitude avant d'être racheté par des hommes d'affaires américains qui, pendant les travaux de rénovation, eurent le plaisir de découvrir des squelettes au détour de couloirs... Après être passé entre les mains de plusieurs propriétaires, le Crescent a été racheté et rénové en 1997 mais reçoit régulièrement la visite de plusieurs fantômes, d'un ouvrier tombé du deuxième étage à une jeune suicidée sans oublier le fameux docteur Baker et même l'ancien chat de la demeure! Ils ouvrent des portes fermées à clés, déplacent des sacs, décrochent le téléphone, etc. Des photos attestent d'apparitions plus ou moins troublantes mais si vous voulez en savoir plus vous-même, vous pouvez y réserver une chambre pour l'été prochain...


SHINING : Les hôtels les plus effrayants du monde


Hotel Stanley, Colorado, États-Unis


Un piano qui joue tout seul, des cris d'enfants qui ne sont pas présents dans l'hôtel, des ampoules qui explosent toutes seules, des bruits de pas venus de nulle part, des clients se plaignant des festivités de la salle de bal, pourtant vide... Construit au début du XXe siècle dans les Rocheuses du Colorado par Freelan Oscar Stanley, ce bel hôtel totalement flippant a inspiré Stephen King pour son roman The Shining, écrit après un séjour troublant passé dans la chambre 217.
 
Si Stanley Kubrick n'a pas tourné l'adaptation cinématographique du thriller dans l'hôtel Stanley, celui-ci a servi de modèle à l'hôtel Overlook où Jack Nicholson et sa petite famille s'installent au début du film avant de plonger dans un cauchemar psychotique. Aujourd'hui, l'hôtel est toujours en activité et des guides peuvent vous faire le tour des événements surnaturels made in Stanley. Mieux encore, dans quelques mois, il deviendra le Stanley Film Center, entre autres financé par Elijah Wood et Simon Pegg. Au programme, un musée de l'horreur (fastoche), un studio de production audiovisuelle et une salle des archives.


SHINING : Les hôtels les plus effrayants du monde


Auberge The Feathers, Ludlow, Angleterre


Le cadre est ravissant (la petite ville de Ludlow, les pubs convivaux du voisinage, la verte campagne du Shropshire), mais l'auberge The Feathers est du genre à faire froid dans le dos. La faute à une ribambelle de fantômes bien connus des employés de l'hôtel et de ses clients.
 
L'une tire les cheveux des femmes, l'autre promène son chien en tenue victorienne ou traverse les vitres des voitures sur le parking... Sur son site, l'hôtel parle fièrement d'expériences «mémorables», de chambres «fantastiques» et d'ambiance XVIIe siècle assurée. Manifestement, il ne s'agit pas de publicité mensongère. Un brandy et un Prozac, please.


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Hôtel Decebal, Baile Herculane, Roumanie


Si les rumeurs affirment que sous les fondations de ce bâtiment se cachent des vestiges de la Rome Antique datant du Roi Decebalus, l'ancien hôtel Decebal, situé à Baile Herculane, en Roumanie, abrite en son sein un fantôme. Une femme habillée d'une longue robe blanche déambule dans les couloirs de l'hôtel, et s'est retrouvée sur les clichés de plusieurs touristes.
 
C'est une visiteuse roumaine qui a vendu sa photo aux médias nationaux, encore sous le choc : «J'ai photographié mon petit ami dans l'hôtel. De retour à la maison, j'ai été choquée de voir une autre femme dans l'ombre de l'image. Elle ressemblait à une prêtresse en long vêtement blanc.» Le but de ladite prêtresse? Garder le trésor, bien sûr! Evidemment, l'hôtel est depuis devenu une attraction touristique...


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Hotel Chelsea, New York, États-Unis


Le Chelsea, c'est avant tout le lieu de villégiature et de rencontres de la faune arty du New York du XXe siècle, d'Arthur Miller à Patti Smith en passant par William Burroughs ou Leonard Cohen qui emballa Janis Joplin en se faisant passer pour un autre, selon la légende... Mais le célèbre hôtel a été aussi le théâtre de morts violentes et inattendues. Celle de la jeune Nancy Spungen, poignardée par son petit ami Sid Vicious, chanteur surexcité des Sex Pistols, en octobre 1988. Ou celui de Dylan Thomas, poète britannique qui se vanta un soir d'avoir bu 18 whiskies d'affilée. Il mourut à 39 ans quelques mois plus tard, suite à ses nombreux abus.
 
Avant sa fermeture en 2011, des clients se sont plaints d'ombres étranges dans leurs chambres, de changement de températures étonnants (sans doute dûs à l'état de délabrement avancé de l'immeuble, construit en 1883) et de bruits de conversations provenant de pièces vides... Bonne nouvelle, l'hôtel est en cours de rénovation et rouvrira ses portes en 2017. Ses fantômes seront-ils de la partie?






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#Posté le mercredi 03 mai 2017 11:16

Modifié le mercredi 03 mai 2017 16:27

Une histoire de commerce

Une histoire de commerce
 
Ce barbier jette ses clients dans la cave et les tue. Là, un autre homme les dépèce. Vous ne devinerez jamais ce qu'ils font des corps ensuite.


Une histoire de commerce


 Nous sommes au XVème siècle à Paris et plus précisément dans la rue Chanoinesse, une petite artère qui se trouve sur l'Île de la Cité. L'adresse est bien connue des fins gourmets de la capitale : le tout-Paris s'y précipite pour acheter des petits pâtés de viande succulents, concoctés par un pâtissier.

Ces délicieux pâtés sont réputés pour leur saveur exceptionnelle. Même le roi Charles VI vient régulièrement y assouvir sa gourmandise. Mais comme souvent dans les pâtés de viande, on ne sait pas exactement ce qu'ils contiennent...
La pâtisserie se trouve à côté de l'échoppe d'un barbier et les deux artisans s'entendent très bien. Ils sont souvent fourrés ensemble. D'ailleurs ils partagent une cave. Mais dans cette cave, ils mènent un commerce horrifiant et diabolique. Le barbier attire volontairement une clientèle de jeunes étudiants étrangers, qui vit sur l'Île de la Cité.
Pourquoi spécifiquement des étudiants étrangers ?

Parce que leurs disparitions seront bien moins remarquées. Lewis Hine, Frank De Natale, 12-year old barber, Boston, 1917 Après les avoir rasés, le barbier jette ses jeunes clients dans la cave sombre.

Là, il les égorge avec son rasoir. Le pâtissier arrive peu après. Il récupère les corps et les réduit en chair à pâté. Car c'est bien ici, et avec cette viande humaine, qu'il concocte ses fameux pâtés.

Et oui ! Sans le savoir, le gotha parisien se livre au cannibalisme en dégustant les pâtés de viande de la rue Chanoinesse ! Cette entreprise macabre va durer 3 ans.

Et elle aurait continué bien plus longtemps s'il n'y avait pas eu ce témoin canin. L'un des étudiants étripés et réduits en chair à pâté a un chien. Et ce chien fait le pied de grue devant la boutique du barbier, attendant désespérément que son maître réapparaisse.

L'étudiant est également marié et sa femme va retrouver leur chien, qui refuse de quitter la devanture du barbier. Cela lui met la puce à l'oreille. Elle alerte la police, qui mène son enquête, jusqu'à mettre cette horrible association de criminels en lumière.

Les policiers découvrent dans la cave une quantité affolante de chair et d'os humains. Pour avoir commis des crimes aussi infâmes, le barbier et le pâtissier sont brûlés vifs. Leurs boutiques sont complètement rasées. Ce pan de la rue Chanoinesse est laissé à l'abandon, en raison de son aura funeste. Ce n'est qu'un siècle plus tard qu'il sera finalement reconstruit. Seules subsistent quelques pierres de la cave originelle.


Aujourd'hui, comble de l'ironie, le numéro 20 de la rue Chanoinesse est occupé par la police, qui y abrite ses véhicules. La rue Chanoinesse à Paris a été le théâtre de ces épouvantables crimes sanguinolents. Si vous vous rendez à Paris, ne manquez pas de vous balader sur l'Île de la Cité, et notamment dans cette rue qui, sous ses allures charmantes, cache un bien sombre passé...


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#Posté le jeudi 20 avril 2017 09:33

Origine de la fève

Origine de la fève
 
 
La pratique de la galette des rois et de la fève trouverait son origine dans les Saturnales de la Rome antique, fêtes ayant lieu fin décembre – début janvier et dont le roi du festin était désigné par une fève trouvée dans un gâteau. L'emploi de la fève pourrait même remonter aux grecs, qui se servaient de fèves pour l'élection de leurs magistrats.

La fève est une légumineuse, elle désigne aussi une graine enfermée  dans une gousse (fève de cacao). A l'origine, on mettait une vraie fève dans la galette des rois, puis la fève naturelle est devenue au XIXème siècle une figurine en porcelaine , que certains collectionnent précieusement ...

Cette pratique s'appelle  "la favophilie ou la  fabophilie" !

Origine de la fèveOrigine de la fèveOrigine de la fève
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#Posté le vendredi 06 janvier 2017 17:03

Tout est bien qui finit mal. La véritable histoire des princesses Disney

Tout est bien qui finit mal. La véritable histoire des princesses Disney
 
L'histoire officielle : Ariel est le dernier petit poisson d'une famille monoparentale. Ses s½urs l'adorent, la chouchoutent et passent le plus clair de leur temps à chanter au fin fond des océans et à se recoiffer devant d'immenses miroirs de style art-déco. Le roi Triton, père d'Ariel, est sévère et taciturne. La raison de ce comportement bourru ne sera révélée que des années plus tard dans le dessin animé Le secret de la Petite Sirène : Triton, ayant perdu sa dulcinée à la pointe d'un harpon, interdit à ses filles d'aller à la surface. Mais la rebelle et intrépide Ariel aime effleurer de ses nageoires le monde des humains et en a fait son passe-temps favori. Un jour, alors que la mer est particulièrement déchaînée, elle sauve Eric, prince d'un pays inconnu, de la noyade. En deux mouvements de queue et quelques brasses, elle en tombe amoureuse et décide de quitter son aquarium géant pour connaître l'amour impétueux dans les bras de son bien-aimé.


L'histoire qu'on voudrait oublier : L'½uvre de l'écrivain danois Hans Christian Andersen est loin d'être une preuve ultime que l'amour, le vrai, n'a pas de barrière, ni même celle de corail. Dans la version originale de La Petite Sirène, parfois appelé La Petite Ondine, parue en 1837, l'histoire ne finit pas sur un mariage heureux où les humains et le peuple de la mer chantent en ch½ur. Tout d'abord, bien que la méchante Ursula accorde à Ariel trois jours avec des jambes humaines, elle lui coupe aussi la langue pour la priver de parole et la prévient qu'à chacun de ses pas, elle aura l'impression de marcher sur une centaine de couteaux aiguisés. Dans les deux versions, le prince est niais et tombe amoureux de la mauvaise fille. Mais dans celle-ci, il finit par l'épouser. Et n'ayant pas su se faire aimer du prince, Ariel est contrainte de mourir. Alors qu'elle attend la mort et cherche à l'orient la première lueur rose de l'aurore, celle du rayon de soleil qui viendra lui ôter la vie, Ariel aperçoit ses s½urs sortant des flots. Leurs longs cheveux légendaires ne flottent plus au vent. Pâles et tristes, elles se sont rasées la tête en sacrifice à la sorcière : « Elle nous a donné un couteau. Le voici. Regarde comme il est aiguisé... Avant que le jour ne se lève, il faut que tu le plonges dans le c½ur du prince et lorsque son sang tout chaud tombera sur tes pieds, ils se réuniront en une queue de poisson et tu redeviendras sirène (...) Hâte-toi ! L'un de vous deux doit mourir avant l'aurore. » Mais fidèle à son amour, Ariel ne peut se résoudre à le tuer. Elle embrasse une dernière fois le beau front du jeune homme couché à côté de sa nouvelle épouse et se jette dans la mer, où elle sent son corps se dissoudre en écume.


Tout est bien qui finit mal. La véritable histoire des princesses Disney


Blanche-Neige
 
L'histoire officielle : Blanche-Neige est tellement jolie que sa belle-mère ne peut la voir en peinture. Sa peau douce et laiteuse, ses cheveux aussi noirs que le bois d'ébène et ses lèvres ourlées d'un rouge sang rappellent sans cesse à la nouvelle épouse du roi que le temps ne joue pas en sa faveur et que bientôt le miroir magique ne reflétera plus qu'un visage flétri, fantôme d'une beauté passée. La méchante reine demande alors à un chasseur d'amener Blanche-Neige en balade dans les bois et, à l'abri des regards indiscrets, de lui arracher son petit c½ur innocent. Mais touché par la beauté, la grâce et la pureté de la jeune fille, le chasseur lui conseille de s'enfuir. Blanche-Neige s'en va gaiement vers de nouvelles aventures et trouve, au bout d'un sentier, une maisonnette habitée par sept adorables petits nains. Elle accepte volontiers d'y faire le ménage et des tartes aux pommes. Empoisonnée par sa méchante belle-mère, elle finit par se réveiller d'un sommeil enchanté par le baiser d'un prince qui passait là tout à fait par hasard.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier : Dans Schneewittchen, le conte des Frères Grimm paru en 1812, la reine est d'un sadisme plus prononcé et Blanche-Neige n'a rien d'une petite ingénue étourdie. La reine a bel et bien envoyé un chasseur tuer sa belle-fille mais elle destinait ses organes vitaux à un tout autre sort : la méchante reine pensait qu'en mangeant le c½ur et le foie de Blanche-Neige, elle hériterait de sa beauté. Blanche-Neige a bel et bien trouvé refuge chez les sept nains et avalé un morceau de pomme qui la plongea dans un profond sommeil et un prince chanceux a bel et bien découvert sa beauté intacte dans un cercueil de verre posé sur une colline. Un doux baiser plus tard, Blanche-Neige se réveilla et accepta d'épouser le prince. Mais ayant un sens aigu de la revanche et un certain panache, elle décida de ne pas laisser le bien triompher du mal et choisit de punir elle-même la marâtre qui l'a tant fait souffrir. Elle invita la méchante reine à son mariage et, aidée de ses petits amis, elle l'obligea à danser avec des escarpins en métal chauffé à blanc jusqu'à ce que mort s'en suive. Aïe.


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Pocahontas
 
L'histoire officielle : Dans notre Disney préféré, Pocahontas est une âme libre et rebelle. Refusant l'homme que son père voudrait la voir épouser, elle scrute la mer en attendant son amour, certain qu'il viendra. Elle prend conseil auprès de Grand-mère Feuillage et vogue au détour de la rivière en compagnie de ses amis Flitz et Meiko. Un jour, d'étranges nuages lui font croiser la route de John Smith, un bel anglais en quête d'aventure. Ils tombent dans les bras l'un de l'autre. La tribu Powhatan désapprouve, trop de différences. Les colons désapprouvent, trop sauvages. Mais l'amour ne laisse personne indifférent et parfois, il permet d'éviter la guerre. Pourtant, les affres de la vie feront que John Smith se verra contraint de retourner en Angleterre et il emportera avec lui l'amour de Pocahontas. Le désir restera enfoui dans un coin de la tête de la belle amérindienne jusqu'au jour où un certain John Rolfe le ravivera.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier :Les registres tenus par des colons de Jamestown indiquent qu'une petite Matoaka est née vers 1595. Surnommée Pocahontas, « petite dévergondée » en langue Powhatan, elle est la fille de Wahunsunacock, chef Powhatan qui régnait sur toutes les tribus de la région de l'actuelle Virginie. Mais dans le monde réel, l'amourette présumée de Pocahontas et du commandant John Smith n'a pas suffi à apaiser les tensions entre colons et amérindiens. Les chemins des amants finissent par se séparer et Pocahontas est faite prisonnière et convertie au christianisme. Dorénavant, elle répondra au prénom de Rebecca. Venu faire fortune dans le Nouveau Monde, John Rofle, un cultivateur de tabac, s'éprend follement de Pocahontas et demande au gouverneur la permission de l'épouser afin de sauver son âme de païenne. Pour attirer encore plus de colons en Virginie et leur assurer que les indigènes ne représentent en rien une menace, Pocahontas est envoyée comme émissaire en Angleterre. Elle y est exhibée comme un animal de foire et, peu habituée à l'air pollué de Londres, elle meurt d'une maladie inconnue, parfois décrite comme une pneumonie ou la tuberculose, en mars 1617.


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Raiponce
 
L'histoire officielle : Ayant toute une garnison à ses trousses, Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour. Il y trouve Raiponce, une belle jeune fille à la longue, très longue chevelure blonde. La téméraire geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée d'aussi loin qu'elle s'en souvienne. Elle décide alors de passer un accord avec le brigand ô combien séduisant. La méchante sorcière, portant le doux nom de Mère Gothel, a caché les origines royales de Raiponce et souhaitant garder pour elle seule le secret de la jouvence éternelle, elle enferma la petite princesse et sa crinière magique à l'abri des regards. Mais la rencontre entre la jeune ingénue et le hors-la-loi bouscula ses plans machiavéliques et annonça le début d'une aventure palpitante et d'une histoire d'amour évidente et ô combien romanesque.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier : Dans le traditionnel conte allemand, Raiponce, éprise de son visiteur secret qui grimpe toutes les nuits par sa longue chevelure jusqu'au haut de la tour pour lui murmurer des mots d'amour, décide de tout avouer à la sorcière et lui parle de ses régulières rencontres interdites. La méchante sorcière, par punition, lui coupe les cheveux et l'envoie errer dans le désert jusqu'à la mort. Pour tromper le prince, Mère Gothel pend les cheveux coupés de Raiponce, qu'elle a soigneusement gardés, sur la tour. Lorsque le prince s'y agrippe, elle le fait tomber dans un buisson de ronces qui lui crèvent les yeux. Il erre alors dans la nuit éternelle jusqu'au désert, espérant retrouver sa Raiponce.


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La Belle au Bois Dormant
 
L'histoire officielle : Au lendemain de sa naissance, Aurore a droit à un baptême somptueux. La famille, plus ou moins lointaine, les amis, plus ou moins fidèles, et les fées marraines entourent la petite princesse d'amour et de dons. Mais une personne n'a pas été invitée et le vit plutôt mal. Maléfique, la méchante fée, soigne son entrée, se présente en retard et lance au nouveau-né un charme mortel : certes Aurore sera d'une beauté insolente, mais à l'aube de ses 16 ans, la princesse se piquera le doigt sur un fuseau et en mourra. La dernière fée marraine, n'ayant pas encore accordé son don, atténue la malédiction : non, Aurore ne mourra pas. Elle tombera simplement dans un sommeil de 100 ans et s'éveillera grâce au baiser d'un prince charmant. Le temps passe et Philippe, le prince charmant en question, prend enfin son courage à deux mains et combat Maléfique avant de réveiller sa belle endormie.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier :La version plus ancienne de Charles Perrault s'inspire d'une vieille légende, Le Soleil, la Lune et Thalie. Et dans ce conte là, le prince n'est en rien romanesque. Au lieu de réveiller sa douce d'un chaste baiser, il la viole. Et neuf mois plus tard, Aurore, toujours endormie, donne naissance à deux enfants. L'un lui tête le sein, l'autre lui tête le doigt, ôtant ainsi l'écharde de lin qui l'avait plongée dans le sommeil. Pas rancunière pour un sou, Aurore épouse le prince. Mais les belles-mères étant ce qu'elles sont, la mère du prince tente de manger Aurore et ses petits-enfants.


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Mulan
 
L'histoire officielle : Mulan est une jeune fille insouciante qui coule des jours heureux dans un village perdu quelque part en Chine. Quand son pays est envahi par les Huns, menés par le sanguinaire Shan-Yu, Mulan décide de prendre la place de son père dans l'armée du jeune capitaine Li Shang. Elle se coupe les cheveux, revêt l'habit traditionnel militaire et s'entraîne aux côtés des hommes. Aidée de Mushu, le petit dragon maladroit et sonneur de gong, Mulan sauvera toute la Chine et au passage, conquerra le c½ur du capitaine Shang.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier : Dans la légende chinoise de Hua Mulan, la jeune femme est fille d'officier et est entraînée dés son plus jeune âge aux arts du combat. Respectueuse des traditions, elle demande l'autorisation à son père pour le remplacer à la guerre. Elle part ensuite 12 ans en campagne contre différents envahisseurs, se distingue par ses stratégies militaires et est nommée général. Lorsque l'empereur apprend que son grand général Hua est en réalité une femme, il en tombe éperdument amoureux. Il la courtise, lui envoie de longues lettres d'amour et devient carrément insistant. Mulan, ne voulant pas se résoudre à épouser l'empereur, finit par se suicider avec son épée.



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Cendrillon
 
L'histoire officielle: Cendrillon est une jeune demoiselle tout en charmes, fille d'un riche gentilhomme veuf et remarié. À la mort de son père, elle devient servante dans sa propre maison. Sa marâtre de belle-mère et ses deux abominables filles lui mènent la vie dure. Heureusement, ses amis souris et oiseaux égaient ses journées et ses rêves d'amour lui redonnent continuellement le sourire. Un jour, le roi décide d'organiser un bal en y conviant « toutes les jeunes filles à marier », dans l'espoir de motiver son fils indécis. La soirée de Cendrillon était sur le point de tourner au fiasco quand sa marraine la bonne fée lui offrit une robe digne de ce nom et un carrosse. Requinquée, la jeune fille s'en va au bal, vole la vedette et le c½ur du prince, qui, amoureux fou, jure d'épouser la fille qui pourra enfiler la pantoufle de vair oubliée dans une course poursuite effrénée.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier : Pour les Frères Grimm aussi, Cendrillon et le prince se marièrent et vécurent heureux pour toujours mais pas sans avoir versé quelques gouttes de sang au préalable. À la minute où le prince fit son annonce surprenante, toutes les jeunes filles ne rêvèrent plus que de pouvoir rentrer leurs pieds dans cette pantoufle anormalement petite, en vain. Les demi-s½urs de Cendrillon eurent une technique plus radicale. L'une se coupa le gros orteil et l'autre se scia le talon. Deux colombes firent remarquer au prince la trainée de sang que les jeunes filles laissèrent derrière elles et pour les punir de leur tromperie, les oiseaux décidèrent de leur arracher les yeux.


Tout est bien qui finit mal. La véritable histoire des princesses Disney


La princesse et la grenouille
 
L'histoire officielle :Dans les années 1920, en plein c½ur de La Nouvelle-Orléans, le Prince Naveen de Maldonia est transformé en grenouille par le Docteur Facilier, un envoûtant et effrayant sorcier vaudou. Pour retrouver sa forme humaine, Naveen part à la recherche d'une princesse. Et la fête de la richissime Charlotte semble être l'endroit idéal. Il tombe nez-à-nez avec Tiana, la copine serveuse de l'hôtesse. Sa beauté et sa robe somptueuse la font passer pour une princesse aux yeux du beau prince quelque peu superficiel. Tiana, peu intéressée au premier abord, se laisse convaincre et offre un baiser à celui qui se prétend prince. Mais les règles ont été transgressées et ils se retrouvent tout deux transformés en batracien. S'en suit alors une épopée dans les bayous de la Louisiane à la recherche de la grande prêtresse Mama Odie, seule capable de rompre le charme. Quand deux nouvelles grenouilles sont aidées par une luciole désespérément romantique et un alligator fan de jazz, l'amour ne peut ressembler qu'à un marécage.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier : Les Frères Grimm aiment définitivement la violence. Dans leur version originale, la princesse fait une promesse à une grenouille afin de retrouver sa balle perdue au fond d'un puits. Mais bien au chaud dans le luxe du château, sa balle entre les doigts, la jeune fille ne souhaite plus tenir sa promesse et n'offre point de baiser à la grenouille. Son père, le roi, lui donne une leçon de morale et lui explique qu'une femme digne de ce nom ne peut revenir sur sa parole. Dés lors, la grenouille reçoit un traitement royal : elle mange dans l'assiette de la princesse et dort dans ses draps. La jeune altesse est perpétuellement éc½urée et saisie de haut-le-c½ur à la vue de l'amphibien. Un jour, n'y tenant plus, elle attrape le batracien et, furieuse, le jette violemment contre le mur. Un geste de colère qui a pour effet de briser le sortilège.














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#Posté le dimanche 06 mars 2016 05:53

Modifié le dimanche 06 mars 2016 06:17


 
Le Bossu de Notre-Dame
 
L'histoire officielle : Paris, 1482. Quasimodo, un jeune bohémien difforme, vit caché dans les clochers de la cathédrale de Notre-Dame. Ayant pour seuls amis des gargouilles mélomanes, le bossu rêve de descendre tout en bas de sa tour et de vivre au grand soleil. Mais son tuteur, le démoniaque juge Frollo, lui dépeint un univers extérieur horrible. Si un jour il s'hasardait à franchir les murs de sa forteresse, les passants se moqueraient de sa difformité et le pointeraient du doigt : « Reste ici », lui susurre-t-il. Mais alors que la fête bat son plein dans la capitale française, Quasimodo décide enfin de braver l'interdiction formelle et de se mêler à la foule. La vie du sonneur de cloche sera marquée à jamais par la rencontre avec la belle et sulfureuse danseuse bohémienne Esméralda. Malgré la haine de Frollo, Quasimodo tombe éperdument amoureux de la jeune femme. Hélas, Esméralda, elle, aime éperdument Phoebus. Mais dans l'univers enchanté de Walt Disney, l'impossible n'existe pas et l'amitié peut suffire à combler un c½ur amoureux.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier : Victor Hugo a fait de Quasimodo un bossu, sourd et muet. Un être difforme qui aime en vain une Esméralda qui, elle, aime en vain Phoebus déjà promis à Fleur-de-Lys. Et puisque les tourments amoureux ne suffisent pas, la bohémienne avance vers l'échafaud, le c½ur brisé. Accusée sans raison par Frollo du meurtre de Ph½bus, à qui elle se refusait, Esméralda est condamnée à la pendaison. Ivre de douleur, Quasimodo jettera son tuteur du haut de Notre-Dame et se laissera mourir dans une cave glaciale en enlaçant le corps sans vie de sa douce Esméralda.





Hercule
 
L'histoire officielle : Hercule est un jeune garçon étrangement fort, élevé par un couple de paysan. Ne s'étant jamais senti à l'aise parmi les mortels, il est soulagé d'apprendre qu'il est en fait le fils des deux plus puissants dieux de l'Olympe, Zeus et Héra. Afin de pouvoir regagner sa place parmi les siens, il devra prouver à son père qu'il possède toutes les qualités pour être un vrai héros. Hercule enfourche Pégase et se rend chez Philoctète, l'entraîneur légendaire. Il lui apprend la patience, le maniement des armes et l'agilité. L'aspirant héros retourne alors en ville, où il combat l'hydre de Lerne, Nessus le Centaure, les Titans et séduit les c½urs des grecs et celui de Mégara, la traîtresse magnifique. Son ascension est telle que même la jalousie mortelle de Hadès, le dieu des enfers, ne peut avoir raison de la lumière divine d'Hercule.
 
L'histoire qu'on voudrait oublier : Le chef-d'½uvre de Disney regorge de références liées au mythe du demi-dieu grec Héraclès. Mais la mythologie antique réservait une destinée beaucoup plus tragique à Mégara, l'épouse de ce dernier. Loin d'être l'enfant tant aimé que ses parents regardèrent grandir au loin en se lamentant de ne pouvoir le chérir, Héraclès fut le fruit de l'adultère de Zeus. Sa femme, la déesse Héra le méprisait ouvertement. Et ne pouvant pas blesser son frère de mari, elle reporta toute sa vengeance sur le bâtard. Elle rendit fou Héraclès et le força à massacrer sa femme Mégara et leurs enfants. Ce qui lui valu d'être banni de l'Olympe et puni des Dieux. Pour se repentir, Héraclès dût s'adonner aux douze travaux que le rendirent tristement célèbre.








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#Posté le dimanche 06 mars 2016 06:20

Les fées au cinéma

Les fées au cinéma
 
Les fées sont désormais des personnages incontournables de la littérature fantastique et du cinéma, entre autres grâce à Walt-Disney qui les a largement popularisées aux Etats-Unis, et à des films comme Dark Crystal.
 
Les fées au cinéma
 
L'Univers de Walt Disney

La fée Bleue est la première fée à apparaître dans un Grand Classique Disney, Pinocchio. 
Ravissante femme blonde capable d'apparaître par enchantement depuis une étoile, c'est elle qui donne la vie au pantin de bois Pinocchio, après le souhait de Gepetto d'avoir un vrai petit garçon. Elle confie au grillon Jiminy Cricket le soin d'être la conscience de Pinocchio et de le guider vers le droit chemin. Pinocchio doit en échange prouver qu'il est toujours brave, loyal, franc et obéissant.

Les fées au cinéma
Elle fut par la suite rejointe par la Marraine de Cendrillon (1950), fée capable de transformer les citroilles en carrosses, par la petite et espiègle Fée Clochette dans Peter Pan (1953) et par le trio Flora, Paquerette et Pimprenelle dans La Belle au Bois Dormant (1959). Peuvent aussi être citées les fées apparaissant dans la séquence Le Ballet de Casse-Noisette dans Fantasia.
 
Les fées au cinéma
Par ailleurs, si elle ne porte pas le nom de fée, Maléfique (La Belle au Bois Dormant) est l'incarnation disneyenne de la Fée Carabosse, la plus vieille des sept fées de la version originale de Charles Perrault.

Les fées au cinéma


Depuis 2005, la franchise Disney Fayries met en avant un groupe de fées autour de la Fée Clochette sont Ondine, Rosélia, Indessa et Noa.


. 2009 : Clochette et la Pierre de lune.


. 2010 : Clochette et l'Expédition féérique. La jeune fée découvre les humains mal vus par les autres fées de la vallée enchantée.**.


. 2011 : Clochette et le Tournoi des fées (hors série d'une demi-heure), diffusé initialement sur Disney Channel, à l'occasion des jeux olympiques de Londres.


. 2012 : Clochette et le Secret des fées.


. 2014 : Clochette et Un jour sur le continent.


. 2014 : Clochette et la Fée Pirate.


. 2015 : Clochette et la créature légendaire.


Les fées au cinéma


L'heroic fantasy

L'heroic fantasy, ou merveilleux héroïque, est un genre littéraire qui présente un récit héroïque dans le cadre d'un monde merveilleux. Mais on peut également retrouver ce genre dans la bande dessinée, l'illustration, le cinéma ou encore le jeu vidéo.
Le terme est probablement apparu aux Etats-Unis dans les années 1930.
L'heroic fantasy est à l'origine le nom donné à des oeuvres centrées sur des aventures héroïques dans des mondes imaginaires au contexte antique ou médiéval.
Le personnage est un élément clé de l'intrigue en heroïc fantasy, parfois aux dépens du monde qui l'entoure, ou des personnages secondaires peu développés. C'est souvent un solitaire, sans attaches, qui évolue dans des royaumes en conflits, dans un monde violent et brutal. L'un des lieux communs les plus connus de l'heroïc fantasy est le personnage de Conan le Cimmérien (ou Conan le Barbare). Personnage massif affrontant mille dangers dans de nombreuses nouvelles, il symbolise la force sauvage, non civilisée mais aussi non pervertie.


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#Posté le mardi 16 février 2016 03:19

Modifié le mardi 16 février 2016 04:00

La Citadelle de Poenari : la demeure du Maître Vampire !

La Citadelle de Poenari : la demeure du Maître Vampire !
 
Véritable nid de vautours, la citadelle de Poenari a été construite au XIVe siècle à environ 800 mètres de haut, sur une falaise isolée, que l'on atteint seulement après avoir monté 1480 marches. La citadelle de Poenari a été aussi habitée par Vlad Tepeș, le prince qui a inspiré le personnage de Dracula. Le château de Tepeș, construit par quelques centaines de prisonniers, est un lieu dont le charme est mis en ombre seulement par la légende du château de Bran. Les détails qui le relient à la vie et à la légende de Vlad Tepeș en font le véritable château de Dracula.
 
On oublie souvent qu'un personnage mondialement connu a vécu toute sa vie en Roumanie. Je veux bien sûr parler de Vlad III Basarab, surnommé Ţepeş (l'Empaleur), autrement connu sous le nom de Dracula depuis la publication du roman éponyme de Bram Stoker, inspiré de la vie du voïvode.
Nombreuses sont les adaptations cinématographiques et les suites littéraires apportées à ce roman, certaines plus fantastiques que d'autres. En Transylvanie, la vraie, les châteaux médiévaux sont effectivement légion, et tous ont un style que n'auraient pas renié les pires vampires de Hollywood. Mais seul l'un d'entre eux a réellement abrité Vlad Ţepeş : on l'appelle Poenari et, contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne se trouve même pas en Transylvanie!
 
La Roumanie est traversée par les Carpates, une chaîne de montagnes très boisées qui traversent le pays d'ouest en est sur plus de mille kilomètres. Ce massif est la partie orientale d'un ensemble montagneux qui traverse l'Europe, et dont la partie occidentale n'est autre que les Alpes. Les Carpates ont les mêmes origines tectoniques et géologiques que ces dernières.
 
Sur leur versant nord, l'on trouve la Transylvanie. Au sud, la Valachie. Ces deux régions jadis indépendantes se sont longtemps fait la guerre, et la prolifération des châteaux montagneux dans les Carpates s'explique par ces mésententes entre seigneurs locaux. Vlad Ţepeş était l'un d'entre eux.
C'était un voïvode, un terme d'origine slave qui désigne au départ le commandant d'une région militaire. Dérivé du slavon, voï (armée) et voda (qui conduit), il était utilisé à l'époque médiévale dans toute la zone de l'Europe centrale et orientale. Malgré son origine slave, il est aussi utilisé en Roumanie, pays de langue latine.
Les voïvodes avaient mandat pour gouverner, présider l'assemblée, faire appliquer les lois, envoyer des ambassadeurs, lever les impôts, lever des troupes ou affréter des flottes pour le compte du souverain dont ils étaient les vassaux (Moldavie, Valachie). Le terme d'origine latine correspondant est Duc (du latin ducere, conduire).

La Citadelle de Poenari : la demeure du Maître Vampire !
 
En pays roumain, le territoire sur lequel l'autorité d'un voïvode était reconnue s'appelait un voévodat ou voiévodat, que l'on traduit en français par principauté. Le voïvode était donc un prince. Vlad Ţepeş était celui de Valachie en 1448, puis de 1456 à 1462, et en 1476.
Selon certaines sources, Vlad Ţepeş était un monstre, un modèle de cruauté, une brute qui aimait répandre le sang, le feu, la mort partout, et ses victimes se seraient comptées en milliers, en dizaines ou en centaines de milliers. Cette thèse d'essence occidentale, trouve son origine dans la haine et le ressentiment de ses adversaires, les marchands saxons et les boyards de Valachie, qui ont toujours lutté pour conserver leurs privilèges dans ces régions.

Cette image, populaire chez nous, a largement été diffusée par Mathias Corvin, roi de Hongrie. En fait, Vlad Ţepeş a une histoire assez classique. Début 1462, la participation que lui promet Matthias en personne dans une expédition contre les Turcs l'enhardit jusqu'à briser son allégeance envers les Ottomans. Il lance alors une campagne contre les Turcs sur le Danube, tuant plus de 30.000 hommes. Vlad provoque la colère du sultan Mehmed II, lorsqu'il refuse d'accéder à la demande des émissaires turcs pour le paiement du tribut au sultan. Lorsque les émissaires du souverain ottoman refusent d'ôter leur turban en face de lui, il les fait clouer sur leur crâne.
 La Citadelle de Poenari : la demeure du Maître Vampire !

Quand le sultan apprend l'exécution de ses émissaires, il décide de punir Vlad en envahissant la Valachie, qu'il souhaite également transformer en province turque. Il procède à l'invasion avec une armée trois fois plus importante que celle de Vlad. Sans alliés, celui-ci doit se résoudre à se retirer à Târgovişte, à brûler ses propres villages, et à empoisonner les sources sur sa route, de façon à ne plus rien laisser à boire et à manger à l'armée turque.
Lorsque le sultan arrive à Târgovişte, il est confronté à une vision d'épouvante : sur des centaines de pals, les corps de nombreux prisonniers turcs sont dressés, une scène  terrifiante qui fut surnommée « la Forêt des Pals ». Mehmed II préfère laisser sa place au combat à Radu III l'Élégant, le plus jeune frère de Vlad, candidat des Turcs pour le trône de Valachie. À la tête de l'armée turque et d'hommes qu'il convainc de rejoindre son camp plutôt que d'obéir à Vlad, Radu III poursuit son frère jusqu'au château de Poenari, une forteresse à l'ancienne que Vlad était parvenu à se faire construire pour se protéger.

D'après la légende, la femme de Vlad, qui voulut s'échapper d'un cachot turc, se donna la mort en se jetant du haut de la falaise que la forteresse surplombe (une scène exploitée par Francis Ford Coppola dans son film Dracula). Vlad, qui n'est pas le genre d'homme à se suicider, réussit à s'échapper du siège de Poenari en empruntant un passage secret à travers la montagne.
 
C'est cette même montagne des Carpates que vous aurez à gravir pour accéder aux ruines actuelles du château de Poenari. Dominant la vallée du Danube du haut d'une falaise de 800 mètres de haut, près d'un canyon creusé par la rivière Argeş, le château ne brille pas par son accessibilité. Les touristes lui préfèrent le Château de Bran, en Transylvanie, que la légende attribue à Vlad Ţepeş. Sauf que ce dernier était bien prince de Valachie et non de Transylvanie, et il n'aurait séjourné à Bran que quelques nuits au cours de sa fuite.
 
 
Il n'existe donc pas de vraie raison pour que le public délaisse autant Poenari. Il faut dire que la citadelle n'apparaît dans presque aucun guide touristique, et qu'aucune route ne permet de s'y rendre. Si vous êtes courageux et amoureux d'histoire, il vous faudra vous garer au bord d'une route fréquentée et escalader la montagne sur un dénivelé de plus de 180 mètres. Rassurez-vous : il y a des escaliers. Ce sont tout de même 1480 marches qu'il vous faudra affronter pour espérer visiter les ruines du seul véritable château de Dracula, le tout sans avoir l'assurance que celui-ci soit ouvert puisque personne n'assure l'accueil des touristes au pied de la falaise. Et comme vous serez certainement les seuls touristes du jour...

Ce désamour s'explique aussi peut-être par la mauvaise réputation du lieu, connu comme étant l'un des endroits les plus hantés au monde!
Après la mort de Vlad à Bucarest (petite bourgade semblable à toutes les autres et dont Vlad aurait fait sa capitale), Poenari resta actif jusqu'au milieu du 16ème siècle avant d'être abandonné définitivement. Dès le 17ème siècle, ce n'était déjà plus qu'une ruine. En raison de sa situation, au sommet d'une crête rocheuse, il était difficile de prendre contrôle du château, même pour les forces naturelles.
 
Un glissement de terrain finit toutefois par démolir une grosse partie de la citadelle en 1888. Elle vint s'écraser dans la rivière en contrebas. Plusieurs de ses murs et tours ont malgré tout résisté jusqu'à aujourd'hui, et certains visiteurs étrangers ont même réussi à passer la nuit au milieu de ces ruines durant l'ère communiste roumaine. Autant dire qu'ils n'avaient pas froid aux yeux, car l'endroit est très venteux...

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( Article pris sur le blog de mon Amie AkannaMelusine... )
 
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#Posté le jeudi 14 janvier 2016 15:23

Modifié le jeudi 14 janvier 2016 15:59

Le château de Bran associé aux Draculas de littérature et de cinéma

Le château de Bran associé aux Draculas de littérature et de cinéma
 
Dans le roman de Bram Stoker, le château de « Dracula » est placé dans une autre région de Transylvanie : le col de "Borgo" (Bârgău), au-delà de Bistritz (Bistrița), et Bran n'y est jamais mentionné. Mais à Borgo (Bârgău-Tihuța), il n'y a aucun château, et Bran correspond assez à l'image que véhicule la mythologie de Dracula... Selon un guide touristique de la région de Bran, Vlad III l'Empaleur (Vlad Țepeș), dit « Dracula », après avoir perdu son trône de Valachie, aurait reçu du voïvode Iancu de Hunedoara la tâche de défendre la frontière sud de la Transylvanie et ainsi, il « aurait pu faire halte au château 7 ». Mais aucun document historique ne corrobore la présence de Vlad Țepeș à Bran et de plus, le château n'était pas propriété de la Valachie pendant le règne de Vlad. Certains sites français rapportent que selon l'historien roumain Mihnea Căpraru, la prétendue présence de Dracula à Bran ne serait qu'une « coquecigrue touristique », tout comme sa supposée naissance à Sighișoara.
 
 
Le château de Bran associé aux Draculas de littérature et de cinémaLe château de Bran associé aux Draculas de littérature et de cinéma
 
( Article pris sur le blog de mon Amie AkannaMelusine... )
 
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#Posté le jeudi 14 janvier 2016 15:49

Modifié le jeudi 14 janvier 2016 15:59

Un histoire dont je ne me lasserai jamais et 2 châteaux à visiter : 1 en Transylvanie et le vrai château de Vlad, en Serbie...

Un histoire dont je ne me lasserai jamais et 2 châteaux à visiter : 1 en Transylvanie et le vrai château de Vlad, en Serbie...
 
Bienvenue dans la demeure de... Vlad Tepes/Vlad l'Empaleur/Dracula !! Le nom du comte Dracula est calqué sur le surnom de deux voïvodes de Valachie du XVe siècle : Vlad Țepeș et son père Dracul, le « Dragon », ainsi appelé parce qu'il était membre de l'Ordre du Dragon ; Vlad Țepeș fut qualifié dans certains libelles, publiés par ses ennemis, de Draculea : le « Dragonneau ». Dracul ne fut d'ailleurs pas le surnom du seul Vlad, mais aussi celui d'un autre voïvode plus tardif : Mihail Ier Șuțu (1730 - 1803, règne de 1783 à 1795). La vie de ces voïvodes valaques est décrite par des sources hostiles comme Histoires de la Moldavie et de la Valachie de Johann Christian Engel, publié au début du XIXe siècle, qui les présente comme des tyrans sanguinaires, s'appuyant, gravures effrayantes à l'appui, sur les libelles de leurs ennemis. Bram Stoker a pu y avoir accès soit directement en librairie ou bibliothèque, soit par les articles d'Ármin Vámbéry, professeur à l'université de Budapest qui est probablement l'Arminius Vambery cité par le Dr Abraham Van Helsing (personnage du roman) comme « ami » et source de renseignements. Par ailleurs, « dracul » signifie également « diable ». Cette ambiguïté sémantique a été développée dans le roman de Stoker, soucieux de souligner l'aspect démoniaque du personnage : il se nourrit du sang de ses victimes et transforme à son tour celles-ci en vampires. Mis à part le nom, le Dracula de Stocker n'a cependant pas de rapport direct avec le personnage historique : le comte se décrit ainsi lui-même comme un prince sicule de Transylvanie, dont le château se trouve près de Bistrița et du col de Borgo. Stoker est le premier (et le seul à son époque) à avoir imaginé un lien entre Vlad Țepeș et celui qui allait incarner le mythe moderne du vampire.
 
Vlad est issu de la dynastie princière des Basarab, à l'origine du toponyme Bessarabie (qui désigna initialement la Valachie avant de désigner une partie de la Moldavie). Le premier représentant marquant est Basarab le Grand qui délivra le pays de la vassalité hongroise. Selon les historiens Mihnea Berindei et Matei Cazacu, ce nom pourrait être couman (signifiant « père sévère »). Selon l'historien Pierre Năsturel, ce Besserem-Bem des chroniques turques pourrait être une déformation de Bessarion-Ban (Ban étant un titre hongrois de vassalité désignant un commandant militaire d'une marche-frontière et ayant donné le nom du Banat). La légende veut que lors de la guerre contre les Ottomans, il empale ses propres soldats qui présentent une blessure dans le dos ou ordonne à un de ses généraux d'empaler un soldat sur douze parmi ceux qui refuseraient d'aller au combat. Le général refusant, Vlad le transperce sur le champ.

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