
En cet instant triste
où ma mélancolie me sombre dans les ténèbres,
ta voix déesse a la coiffe de feu,
m'échappe de ma torpeur morbide ;
douleur extrémiste
qui me crucifie au mur des pensées funèbres,
tu chantes et je me perds dans tes yeux,
de tes paroles je suis avide.
Déesse au sourire mutin,
tu donnes et avec ce n'est pas feint.
Sur la scène pistes,
la mesure de tes chants aux paroles concélèbres,
Mylène au sourire tendre mélodieux,
m'exorcise de cet immense vide
et je me désiste
de ma transe mortelle aux cris d'amour de la plèbe.
Pour elle, ils crient leur love affectueux,
mais mon âme résiste est algide.
Déesse au sourire mutin,
tu donnes et avec toi ce n'est pas feint.
C'est la fin, c'est triste,
de te voir partir vers ta solitude célèbre,
leurs mains battent en coeur respectueux,
te laissent partir les yeux humides
et me désiste
de ma mélancolie dans le nid doux du grêle.
Un instant de sursis doucereux,
tu emportes tel un ange mon vide.
Déesse au sourire mutin
qui donne et avec elle ce n'est pas feint.
(Du blog de mon nouvel ami : Purgatoire...)