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Retour au blog de fredangeetdemon

RIP Anne

RIP Anne
Christopher Rice a annoncé la mort de sa mère, la romancière Anne Rice, à qui on doit notamment Entretien avec un vampire, qui avait été adapté au cinéma.
 
Le 11 décembre, Anne Rice a rendu son dernier souffle à l'âge de 80 ans. Son fils Christopher a annoncé la triste nouvelle sur sa page Facebook et Twitter : “Chères personnes de la page. C'est le fils d'Anne, Christophe, et ça me brise le c½ur de vous annoncer cette triste nouvelle. Plus tôt ce soir, Anne est décédée en raison de complications résultant d'un accident vasculaire cérébral. Elle nous a quittés presque dix-neuf ans jour pour jour, après que mon père, son mari Stan, est décédé”. La romancière gothique était mondialement connue pour ses romans, dont Entretien avec un vampire et La Saga des sorcières.
 

 Une immense romancière

Née à la Nouvelle-Orléans, cette passionnée de littérature fantastique s'est lancée dans une carrière de romancière à la suite de la mort de sa fille Michèle. En 1976, elle a sorti son premier best-seller, Entretien avec un vampire. Un ouvrage qui a ensuite constitué la saga littéraire Chroniques des vampires. Face au succès du livre, les studios Warner Bros ont acheté les droits pour produire le film Entretien avec un vampire, sorti en 1994. Réalisé par Neil Jordan, le long-métrage mettait en scène Tom Cruise, Brad Pitt, Antonio Banderas et Kirsten Dunst. Anne Rice a aussi connu le succès avec la série littéraire La Saga des sorcières. En 45 ans de carrière, l'écrivaine a vendu plus de 150 millions d'exemplaires de ses ouvrages. Et son ½uvre devrait continuer à vivre sur le petit écran...
 

La Saga des sorcières et Entretien pour un vampire adaptés à la télévision

Comme rapporté début décembre par Deadline, le groupe AMC Networks planche sur une adaptation de La Saga des sorcières à la télévision, basée sur la trilogie de l'écrivaine Anne Rice. La chaîne a commandé huit épisodes, pour une sortie prévue d'ici fin 2022. Produite par Esta Spalding et Michelle Ashford, la chaîne avait acquis les droits de l'ouvrage depuis 2020. “Le monde des sorcières fascine et terrifie depuis des siècles, et pourtant l'objectif particulier d'Anne Rice sur les sorcières a exploré quelque chose de complètement nouveau, des femmes puissantes, souvent brutales, et toujours engagées à renverser nos structures de pouvoirs actuelles”, ont dévoilé les productrices. Entretien avec un vampire connaîtra également une adaptation télévisée sur AMC, prévue pour 2022. Pour succéder à Tom Cruise dans le rôle de Lestat, la production a choisi l'acteur australien Sam Reid.


RIP Anne
L'Américaine bohème aux cheveux de jais, qui s'était fait connaître mondialement en 1976 avec son roman sexy et fantastique Entretien avec un vampire, avait, au fil des ans, laissé place à une dame rangée aux tenues sombres et au carré poivre et sel impeccables. Son large sourire ne l'a jamais quittée tout au long d'une carrière peuplée de créatures de la nuit, de récits érotiques et, aussi, de réflexions bibliques.
 
Sans l'écrivaine, il n'y aurait eu ni Twilight ni aucune autre ½uvre de « bit-lit » – terme inventé par des éditeurs français, contraction signifiant « littérature mordante » en anglais et désignant les romances fantastiques autour de la figure du vampire qui se sont multipliées dans les années 2000. Car, dans les nombreuses fictions qu'elle a consacrées aux suceurs de sang, l'autrice a irrémédiablement façonné la figure moderne du vampire en être sensuel et tourmenté, bien éloigné de sa mythologie barbare et quasi animale. Un univers émotionnellement riche murmuré à sa créatrice par différents drames personnels.
 
 
Un prénom de garçon

Anne Rice est née le 4 octobre 1941, dans la moiteur de La Nouvelle-Orléans, en Louisiane. L'enfant est alors prénommée Howard Allen Frances O'Brien. « Mon père s'appelait Howard et ma mère voulait m'appeler comme lui, croyant que c'était une chose très intéressante à faire. Elle était un peu bohémienne, un peu cinglée, un peu géniale et une sacrée professeure. Elle avait dans l'idée qu'appeler une femme Howard lui donnerait, dans ce monde, un avantage peu commun », expliquait la romancière en 1997 sur son ancien site Web, retrouvé par Slate. Ce nom masculin ne convient pas à la petite fille. A 6 ans, lors de son premier jour d'école primaire, la bonne s½ur qui accueille les enfants dans la cour lui demande son prénom ; elle répond sans ciller « Anne ». Elle sera donc Anne à l'école, pour sa famille et, bien plus tard, pour ses fans.
 
Enfant sympathique mais un peu étrange, selon ses proches, elle s'épanouit dans une famille d'origine irlandaise et catholique à la périphérie du quartier Garden District, avec ses demeures néoclassiques cossues bordées de fleurs odorantes. Les O'Brien, peu fortunés, nourrissent les ambitions de leurs filles et encouragent leur imagination avec affection. « Elle a été élevée de façon inhabituelle et exposée à des idéaux élevés qui lui ont procuré un sens d'unicité personnelle », relate la biographe Katherine Ramsland (Anne Rice, la reine des vampires, Lefrancq, 1991). Mais en 1956, sa mère, Katherine O'Brien, meurt prématurément, à cause de son alcoolisme. Anne a 15 ans et elle sait désormais qu'elle devra s'assumer et combattre ses angoisses seule.
 

« Elle était vraiment loufoque. Etre à côté d'elle, c'était comme se trouver à côté d'une étincelle », confiait Stan Rice, son mari

Un an plus tard, la famille déménage au Texas, où le père, qui s'est entre-temps remarié, est muté. Un crève-c½ur pour l'adolescente. C'est aussi là-bas, en intégrant le journal d'un lycée de la banlieue de Dallas, qu'elle rencontre Stan Rice, poète en herbe et futur professeur, qu'elle finira par épouser en 1961, lorsqu'ils seront à l'université. « Elle était vraiment loufoque. Etre à côté d'elle, c'était comme se trouver à côté d'une étincelle », confiera Stan Rice à Katherine Ramsland.
 
Etudiante en Californie, à la San Francisco State University, puis à Berkeley, Anne Rice disait souvent en interview qu'elle voulait « être écrivaine, pas étudiante en littérature ». Pour ses 18 ans et son bac, Dorothy, sa belle-mère, lui offre sa première machine à écrire. Mais l'inspiration et le processus d'écriture sont laborieux chez l'autrice, qui commence par écrire quelques nouvelles. « A l'âge de 20 ans, elle écrivit de la pornographie et des récits érotiques, fascinée par la liberté de l'expérience mâle et par ses propres caractéristiques masculines. Il lui faudra une autre tragédie avant de trouver le thème qui canaliserait la souffrance (...) : le vampire », explique Katherine Ramsland, en introduction de sa biographie. En 1972, Michele, la fille d'Anne et Stan, succombe à une leucémie diagnostiquée deux ans plus tôt. Elle avait 5 ans.
 
 
Ecrire pour rester vivante

La mère éplorée se lance alors pleinement dans l'écriture, de façon quasi compulsive. C'est là qu'elle adapte en roman l'un de ses courts textes, écrit en une nuit, Entretien avec un vampire. En cinq semaines, elle tisse au c½ur de La Nouvelle-Orléans du XVIIIe siècle le destin nocturne de Louis de Pointe du Lac, jeune propriétaire terrien veuf, qui se voit offrir l'immortalité par Lestat de Lioncourt, un vampire en apparence baroque et amoral mais plein de questionnements.
 
« Il y avait un lien très profond entre les deux [la mort de sa fille et le roman], mais j'en étais inconsciente. J'essayais de rester vivante, c'est tout. “Tu écris sur ta famille”, me disait-on. Et je protestais : “Mais non, ce que j'écris n'est pas réaliste !” Les écrivains dissimulent leur histoire derrière celles qu'ils inventent », confie-t-elle à Télérama, en 2016.

« Je me moque du réalisme à tous crins et de la littérature “ sérieuse ” qui se focalise sur les petits problèmes du quotidien des “vraies gens” » –  Anne Rice

Refusé par plusieurs éditeurs, le livre est finalement publié par la maison d'édition new-yorkaise Knopf. Les droits cinématographiques sont acquis dans la foulée. Le succès l'amène à écrire une suite presque dix ans plus tard, en donnant à son personnage secondaire, Lestat, le vampire aristocrate né dans la France de l'Ancien Régime, le premier rôle. Naîtront ensuite, à intervalles réguliers, de nombreux ouvrages constituant une ½uvre canonique pour les amateurs de surnaturel : Les Chroniques des vampires. Le dernier roman en date, Blood Communion : A Tale of Prince Lestat, paru aux Etats-Unis fin 2018 (et non traduit), mettait à l'honneur sa créature la plus emblématique et plébiscitée.
 
D'une plume gothique et ensorcelante, l'écrivaine à l'imagination provocante nouait de longues digressions sur le bien, le mal et l'impossible rédemption. Bien loin des monstres des Carpates, les vampires y sont des personnages diserts et flamboyants. Anne Rice leur prêtait une soif charnelle, des relations homosexuelles et bisexuelles. Un univers à la fois nourri par ses fréquentations universitaires, sa quête de spiritualité, mais aussi la révolution sexuelle, qui bat son plein dans le San Francisco des années 1970.
 
« J'écris des livres de ce genre, car c'est la seule manière que j'ai trouvée pour saisir un semblant de réalité. Je me moque du réalisme à tous crins et de la littérature “sérieuse” qui se focalise sur les petits problèmes du quotidien des “vraies gens” – soit une bonne partie de la production depuis 1976... Il me faut de l'aventure, du rythme, de la tension dramatique, tout simplement parce que c'est comme ça que je perçois la vie », défend la romancière auprès du magazine Lire en 2013.
 
 
Pornographie élégante

Avant d'en écrire, elle n'avait pourtant jamais lu de livres sur les nocturnes buveurs de sang. A 14 ans, elle était plutôt amatrice de Gustave Flaubert, Charles Dickens et Charlotte Brontë. Et dévorait des biographies de saints. Son obsession pour le vampirisme trouve son origine dans un vieux film, La Fille de Dracula, de Lambert Hillyer (1936), qu'elle découvre vers l'âge de 10 ans. « C'était magique, incroyable. Il y avait tout là-dedans : le désir, le refus, la peur de s'accepter... Plus tard, je me suis demandé ce que ce vampire pouvait avoir à dire sur la vie et la mort », raconte-t-elle à « M Le magazine du Monde », en 2016.
 
Si les Chroniques des vampires sont sans nul doute sa collection la plus acclamée, Anne Rice s'est frottée, au fil de sa carrière, à bien des genres. Elle a écrit une quarantaine de livres, sous trois noms différents, et s'est essayée avec aisance au surnaturel, aux récits modernes de loups-garous et de sorcières, mais aussi aux fresques historiques, à l'érotisme et même à la pornographie élégante. Ainsi A. N. Roquelaure signe une tétralogie érotique revisitant le conte La Belle au bois dormant. Le pseudonyme Anne Rampling lui permet d'explorer, au milieu des années 1980, dans Exit to Eden, la littérature bondage et sadomasochiste. Au magazine Lire, en 2013, elle explique : « J'avais envie de me lancer dans une fiction érotique dans laquelle les lecteurs pourraient se divertir sans qu'on leur impose un festival d'horreurs et de tortures. (...) Au début des années 1980, j'ai l'impression qu'il y avait une méconnaissance du marché. On avait une pornographie bon marché assez atroce et on ne trouvait guère, en rayon littérature érotique, que des rééditions des classiques du XIXe siècle. »

Aujourd'hui reconnu, le succès littéraire d'Anne Rice, chiffré à quelque 100 millions d'exemplaires vendus, est resté longtemps controversé. Les critiques ont aussi bien loué son parcours que condamné sa prose populaire. Au plus fort de sa renommée, dans les années 1990, on estimait qu'un de ses livres était vendu dans le monde toutes les 24 secondes ; son éditeur pouvait lui avancer jusqu'à 17 millions de dollars pour trois romans. Des chroniques négatives de ses ½uvres dans la presse généraliste américaine lui ont toutefois parfois donné l'envie de jeter l'éponge.
 
 
Relations tumultueuses avec l'Eglise

Mais auprès du public, notamment portée par le succès de l'adaptation cinématographique par Neil Jordan d'Entretien avec un vampire en 1994, Anne Rice gagne le c½ur des amateurs de fantasy urbaine et gothique, mais aussi d'un lectorat gay. « Mon travail a toujours été d'évoquer des outsiders, des marginaux, et le lectorat gay est, semble-t-il, sensible à mon approche », explique la romancière au magazine Têtu, en 2013. Sa popularité survivra aussi aux années 1990 : Lestat aura droit à sa comédie musicale en 2005, mise en musique par Elton John et Bernie Taupin, et, en juillet 2018, le site de vidéo à la demande américain Hulu a annoncé une série télé inspirée des Chroniques des vampires. Un projet encore en développement en décembre 2021.

« Au nom du Christ, je refuse d'être antigay. Je refuse d'être antiféministe. Je refuse d'être contre la contraception. (...) Au nom du Christ, j'arrête le christianisme et d'être chrétienne. Amen » – Anne Rice, en 2010

L'½uvre d'Anne Rice est aussi traversée par la religion catholique, parfois même de façon envahissante. La romancière a longtemps entretenu une relation tumultueuse avec celle-ci et a même écrit, en 2005, Christ the Lord : Out of Egypt, un roman sur l'enfance de Jésus. Une claque pour ses fans de fantastique. « Certains lecteurs se sentent trahis. Surtout les jeunes qui refusent d'entendre parler de religion », admet-elle à « M Le magazine du Monde », en 2010. Elevée dans la foi puis devenue athée à 18 ans, elle retourne sur les bancs des églises à l'âge adulte, en 1998. Pour finalement annoncer sur Facebook, en 2010, qu'elle en a fini avec l'Eglise. « Au nom du Christ, je refuse d'être antigay. Je refuse d'être antiféministe. Je refuse d'être contre la contraception. Je refuse d'être antidémocrate. Je refuse d'être antiscience. Je refuse d'être antivie. Au nom du Christ, j'arrête le christianisme et d'être chrétienne. Amen. »


Au magazine Wired, en 2012, elle raconte : « J'avais le sentiment qu'en fin de compte, c'était un système de croyance très malhonnête et déshonorant, qu'il était fondé sur des contradictions, des absurdités et des mensonges, et que la grande majorité des chrétiens, à ma connaissance, ne connaissaient pas leur propre religion, ne connaissaient pas son histoire, ne connaissaient pas vraiment ses documents fondamentaux et ne voulaient pas en parler de façon critique. »


Hantée par les souvenirs

Ce divorce avec l'Eglise s'explique aussi par la complicité qu'elle entretient avec son fils, Christopher Rice, né en 1978, romancier, scénariste à Hollywood et militant LGBT +. Elle ira d'ailleurs le rejoindre en Californie après la mort, en 2002, de son mari, Stan, d'une tumeur au cerveau. Depuis la fin des années 1980, le couple s'était installé dans une opulente maison à La Nouvelle-Orléans, si chère au c½ur d'Anne.
 
« Je suis née et j'ai grandi à La Nouvelle-Orléans. Son histoire multiculturelle et ses légendes ont influencé toutes les choses que j'ai écrites. Je ne peux pas imaginer mes romans ou ma carrière sans l'influence de La Nouvelle-Orléans », confie-t-elle au chanteur Alice Cooper, dans une interview à Billboard, en 2016.
 
Elle n'assistera pas à la désolation laissée par l'ouragan ravageur Katrina, en 2005. Un an plus tôt, au crépuscule de sa vie, elle s'est installée dans les contrées ensoleillées et désertiques de Palm Springs, de celles que fuiraient ses vampires adorés. Pour sa santé mais aussi parce que La Nouvelle-Orléans lui remémorait trop de souvenirs douloureux et la mort de ses proches. Elle n'y remettra jamais les pieds.
 
De sa nouvelle maison, qui regorgeait de bibelots, poupées de porcelaine et statuettes d'anges, elle ne sortait plus trop, elle qui, sur le tard, avait tant aimé voyager – « la seule chose pour laquelle j'ai été contente de gagner de l'argent », plaisantait-elle souvent. Anne Rice menait une vie paisible à siroter des canettes de Coca Light et regarder des séries télé, et échangeait très souvent en ligne avec ses fans, notamment sur sa page Facebook. Une chose continuait toutefois de lui faire peur : « La mort. L'idée que nous puissions cesser d'exister, l'idée que nous pouvons nous retirer sans jamais savoir que nous nous évanouissons, que nous pourrions cesser d'être sans réponses à toutes nos questions cosmiques. »

RIP Anne
Anne Rice en quelques dates :

4 octobre 1941 Naissance à La Nouvelle-Orléans (Louisiane)
 
1976-2018 Série « Chroniques des vampires »
 
1983-1985 Série « Les Infortunes de la Belle au bois dormant »
 
11 décembre 2021 Mort aux Etats-Unis
 
RIP Anne
Pauline Croquet
Édition du jour
Daté du lundi 13 décembre

RIP Anne
Tags : Personnalités décédées que j'appréciais fortement...
​ 7 | 2
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#Posté le dimanche 12 décembre 2021 13:14

Modifié le dimanche 12 décembre 2021 14:46

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x3-Hollydays-x3, Posté le jeudi 16 décembre 2021 17:23

paix à leur âme


dingodedisney84, Posté le lundi 13 décembre 2021 01:50

c'est triste


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