
— l'architecture médiévale ;
— l'« Au-Delà » (réel ou imaginé) ;
— un mystère inquiétant ;
— une atmosphère onirique ;
— une esthétique du sublime.
Cela étant, lorsque seul l'environnement médiéval manque au tableau, et que des lieux tout autant redoutables s'y substituent, la charge gothique de telles mises en scène reste forte. Dans ces cas, s'agissant du cinéma, nous avons proposé de qualifier ces œuvres de pseudo-gothiques.
Un raisonnement comparable pourra être tenu dans les cas où ça n'est pas l'architecture médiévale qui fait défaut, mais la référence à l'Au-Delà.
Bien que les parodies théâtrales et littéraires du roman gothique apparaissent dès la fin du XVIIIe, ce genre reste peu soluble dans l'humour. Par conséquent, un excès de drôlerie neutralisera l'atmosphère nécessaire. Là encore, seule la requalification en pseudo-gothique permet le repêchage.
Si cette parodie s'inspire pour une bonne part de la Hammer, on y retrouve aussi des éléments typiques de l'Universal, ainsi qu'une étonnante ressemblance physique entre le Professor Abronsius de Polanski, et le funeste Docteur dans Vampyr de Carl Theodor Dreyer.
1 — Le train des épouvantes (Dr. Terror's House of Horrors, 1965) offre une histoire de loup-garou assez ténébreuse.
fredangeetdemon, Posté le samedi 04 février 2017 14:29
Nutsy7801 a écrit : " "
Uniquement pour concernant les devoirs domestiques... Je rêve d'une femme de ménage !